Bonobo (4)
Notre frère d’évolution nous rappelle qu’il a construit sa planète avec un comportement sensible aux autres, affectueux, pacifique et conciliant. Autrement dit, une planète centrée sur la valeur des relations sociales. Nous tentons de l’ignorer. Et pourtant... elle tourne !
Si, comme les bonobos, nous regardons l’autre avec les yeux du cœur, aussi différent soit-il, nous pouvons nous enrichir de son monde, sans le détruire. La planète bonobo pourrait bien engager la planète humanité à "tourner plus rond" en passant d'une culture de l'agressivité à une culture de la paix dans sa relation à l'autre, qu'il ait ou non visage humain. C'est une nouvelle façon de marcher sur notre planète que nous devons inventer ou réinventer. Une marche qui accompagne la terre à harmoniser des milliers de mondes différents, plutôt qu'à les séparer par des murs arbitraires et destructeurs. Plusieurs millions d'années après les bonobos, le principe de non-violence est toujours, et plus que jamais, une question de survie.
Voilà, tout est dit.
Ravachol n’a pas donné suite aux recommandations de Bonobo.
Ravachol et ses adeptes persistent à se laisser bercer par un pessimisme mou et improductif.
Alors Bonobo retire son soutien à Ravachol. Il reprend sa route, tout en espérant que ces quelques lignes auront fait réfléchir ses frère humains. Un nouveau monde est à construire, d’urgence. Il faudra combattre âprement les différents lobbies qui nous envahissent, il faudra inventer une nouvelle culture qui prenne en compte les êtres vivants avant toute chose, plutôt que de se laisser mener par les lois dévorantes et boulimiques du Marché. Bonobo ne remet pas en cause le besoin qu’a l’homme de faire du commerce et de gagner de l’argent, mais prêche pour des règles qui protègent la Nature et les êtres humains, notamment les plus faibles d’entre nous. La tâche est immense, et le pouvoir de l’amour n’est pas grand-chose face au pouvoir de l’argent, mais Bonobo préfère penser que les choses bougeront avant qu’il ne soit trop tard.
Cette série de billets m'a été inspirée par le texte de Marité Moralès.
Si, comme les bonobos, nous regardons l’autre avec les yeux du cœur, aussi différent soit-il, nous pouvons nous enrichir de son monde, sans le détruire. La planète bonobo pourrait bien engager la planète humanité à "tourner plus rond" en passant d'une culture de l'agressivité à une culture de la paix dans sa relation à l'autre, qu'il ait ou non visage humain. C'est une nouvelle façon de marcher sur notre planète que nous devons inventer ou réinventer. Une marche qui accompagne la terre à harmoniser des milliers de mondes différents, plutôt qu'à les séparer par des murs arbitraires et destructeurs. Plusieurs millions d'années après les bonobos, le principe de non-violence est toujours, et plus que jamais, une question de survie.
Voilà, tout est dit.
Ravachol n’a pas donné suite aux recommandations de Bonobo.
Ravachol et ses adeptes persistent à se laisser bercer par un pessimisme mou et improductif.
Alors Bonobo retire son soutien à Ravachol. Il reprend sa route, tout en espérant que ces quelques lignes auront fait réfléchir ses frère humains. Un nouveau monde est à construire, d’urgence. Il faudra combattre âprement les différents lobbies qui nous envahissent, il faudra inventer une nouvelle culture qui prenne en compte les êtres vivants avant toute chose, plutôt que de se laisser mener par les lois dévorantes et boulimiques du Marché. Bonobo ne remet pas en cause le besoin qu’a l’homme de faire du commerce et de gagner de l’argent, mais prêche pour des règles qui protègent la Nature et les êtres humains, notamment les plus faibles d’entre nous. La tâche est immense, et le pouvoir de l’amour n’est pas grand-chose face au pouvoir de l’argent, mais Bonobo préfère penser que les choses bougeront avant qu’il ne soit trop tard.
Cette série de billets m'a été inspirée par le texte de Marité Moralès.