Bonobo (3)
Le modèle bonobo dérange la théorie de l’évolution du modèle chimpanzé centré sur la domination masculine, la guerre, la chasse, l’emploi des outils. En démontrant que l’agressivité humaine et la volonté de pouvoir n’ont pas un caractère biologiquement inévitable, il nous donne une chance. Celle de nous libérer de ces préjugés bien ancrés qui, depuis des siècles, détruisent la nature et les êtres vivants qu’elle abrite.
Bonobo est affligé de constater les dégâts de l’activité humaine sur la Nature, et, par voie de conséquence, sur les êtres humains. Le réchauffement climatique l’inquiète au plus haut point, il pressent qu’aux réfugiés de la misère et de la guerre vont s’ajouter dans quelques années les réfugiés climatiques, auxquels les pays non concernés fermeront leur porte, bien entendu. Il considère que sur ce plan, l’humanité marche sur la tête, et que les nations industrielles sont en train de scier la branche sur laquelle elles sont assises.
Pourtant il admire le génie et l’intelligence humaines, il a confiance en ces deux paramètres pour l’avenir de la planète, et donc de l’humanité.
C’est pourquoi il a bon espoir qu’en créant une société fondée sur le respect de l’autre, les choses s’amélioreront d’elles-mêmes. Pourtant, devant la gravité de la situation, il lui faudra prendre des mesures d’urgence. Tout sera mis en œuvre pour que chacun d’entre nous, individus, chefs d’entreprises, hommes et femmes politiques, prenne conscience du danger qui nous menace. Bonobo considère que le ministère de l’Ecologie devra être un des plus importants portefeuilles du gouvernement de Ravachol. Il lui donnera tous les moyens pour agir dans le bon sens : il allouera des crédits conséquents à la Recherche, il s’entourera d’experts politiques et scientifiques qui sauront développer les énergies nouvelles, orienter l’agriculture vers l’agriculture biologique, réduire les déchets, il aidera les entreprises résolument tournées vers le respect de la planète et combattra les multinationales polluantes et déshumanisées.
Son action ne s’arrêtera pas à la seule nation française. Bonobo portera la bonne parole à l’Europe toute entière, puis au monde entier. Il a conscience que le combat sera long et difficile, et qu’il passera par un changement radical de culture et de politique, mais l’objectif étant de léguer une planète viable à nos enfants, il sait que le jeu en vaut la chandelle.
En cela, Bonobo garantit à Ravachol la possiblité de promouvoir la sieste obligatoire dans l'herbe haute. Sinon, au train où vont les choses, il y aurait fort à parier que cette sieste ne pourrait plus se faire que sur le bitume, et douze heures sur un revêtement si dur et si nauséabond, c'est long.
Bonobo est affligé de constater les dégâts de l’activité humaine sur la Nature, et, par voie de conséquence, sur les êtres humains. Le réchauffement climatique l’inquiète au plus haut point, il pressent qu’aux réfugiés de la misère et de la guerre vont s’ajouter dans quelques années les réfugiés climatiques, auxquels les pays non concernés fermeront leur porte, bien entendu. Il considère que sur ce plan, l’humanité marche sur la tête, et que les nations industrielles sont en train de scier la branche sur laquelle elles sont assises.
Pourtant il admire le génie et l’intelligence humaines, il a confiance en ces deux paramètres pour l’avenir de la planète, et donc de l’humanité.
C’est pourquoi il a bon espoir qu’en créant une société fondée sur le respect de l’autre, les choses s’amélioreront d’elles-mêmes. Pourtant, devant la gravité de la situation, il lui faudra prendre des mesures d’urgence. Tout sera mis en œuvre pour que chacun d’entre nous, individus, chefs d’entreprises, hommes et femmes politiques, prenne conscience du danger qui nous menace. Bonobo considère que le ministère de l’Ecologie devra être un des plus importants portefeuilles du gouvernement de Ravachol. Il lui donnera tous les moyens pour agir dans le bon sens : il allouera des crédits conséquents à la Recherche, il s’entourera d’experts politiques et scientifiques qui sauront développer les énergies nouvelles, orienter l’agriculture vers l’agriculture biologique, réduire les déchets, il aidera les entreprises résolument tournées vers le respect de la planète et combattra les multinationales polluantes et déshumanisées.
Son action ne s’arrêtera pas à la seule nation française. Bonobo portera la bonne parole à l’Europe toute entière, puis au monde entier. Il a conscience que le combat sera long et difficile, et qu’il passera par un changement radical de culture et de politique, mais l’objectif étant de léguer une planète viable à nos enfants, il sait que le jeu en vaut la chandelle.
En cela, Bonobo garantit à Ravachol la possiblité de promouvoir la sieste obligatoire dans l'herbe haute. Sinon, au train où vont les choses, il y aurait fort à parier que cette sieste ne pourrait plus se faire que sur le bitume, et douze heures sur un revêtement si dur et si nauséabond, c'est long.