démocratie éthylique

Publié le par méli-mélo

Bon allez, une petite preuve supplémentaire quant à  l'alcoolisation plus que probable de notre président au G8 :


Message à not'maire : puisqu'un président peut se présenter ivre à une conférence de presse lors d'un sommet international, je vois vraiment pas pourquoi on nous empêche de boire un petit coup de champagne à l'Orange Bleue de Vitry-le-François...

A part ça, tout va bien pour la démocratie : la prem's dame de France était bien dans le bureau de vote dimanche dernier, tout porte à croire qu'elle a voté cette fois-ci... (merci à J.C.)

Publié dans France - monde

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N
le journaliste belge c'est excusé,à t'il eut des remords ou on l'a poussé à avoir des remords!bravo les médias français rien là dessus,c'est vrai que bientot il va avoir le jeu des chaises musicales chacun vend chérement sa peau...euh sa placetoi tu bois un verre t'es alcoolo et en prison s'en passé par la case départsarko c'est la fatigue il était en retard;et vu sa taille il doit courrir par rapport à un etre normal qui marche donc il s'éssouffle plus vite,la russie a eut elstine nous sarko,l'amérique clinton,nous cécilia;imagine cécilia ;clinton ensemble à Lyon ;département du rhone c'est quel numéro déja?
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M
Voilà ce qu'a écrit hier 14 juin 2007 Richard Werly, journaliste au "Temps" (Suisse), à propos du comportement de notre président débutant lors de la fameuse conférence de presse du G8  : Heiligendamm, jeudi 7 juin, 17h30... Oui, Nicolas Sarkozy avait bien l'air bizarre pour sa toute première conférence de presse donnée lors d'un G8. Quasi-exploit Je vous parle en connaissance de cause. J'étais au troisième rang, juste devant la caméra dont les images du président français circulent aujourd'hui abondamment sur Internet. Ceux qui avaient pu, comme moi, atteindre le centre de briefing d'Heiligendamm étaient pour la plupart dans la salle. Presque un exploit: les protestataires anti-G8 ayant bloqué le train à vapeur reliant le centre de presse à la salle de briefing, distants d'une dizaine de kilomètres, les rescapés avaient été convoyés dans l'après-midi en bateau... ou en hélicoptère. Beaucoup de journalistes français, coincés et furieux, durent d'ailleurs se contenter de regarder ce jour-là leur président sur écran. Grand vide Résumons: l'intervention de Nicolas Sarkozy était la seule à cette heure. Pas de tension particulière ni d'agitation sécuritaire donc, dans ce centre de briefing monté de toute pièce à l'extérieur du Grand Hotel Kempinski, pour que les grands de ce monde ne soient pas importunés par les reporters. Le reste s'est passé comme ça: Sarko est arrivé en retard, pressé. Eméché? Cela ne m'est pas venu à l'esprit. Il ne titubait pas. Il semblait plutôt étonné d'être propulsé là, au milieu des journalistes, tous leur carnet de notes en main. Je l'ai senti plutôt angoissé par un grand vide. Pris de vertige. Un peu comme un trapéziste qui voit soudain le sol défiler sous lui. Il n'était pas serein (mais lui arrive-t-il de l'être?). Plus grave: il ne semblait pas non plus très bien préparé par ses conseillers à son premier punching-ball diplomatico-médiatique. Euphorie planante Le malaise venait du ton. Je l'ai dit dès la fin de la conférence à mon collègue Yves Petignat, aussi sur place pour couvrir le G8. L'hôte de l'Elysée était euphorique. Il planait. Au point de nous prévenir qu'il avait «gardé son calme» devant Poutine. Au point de demander, devant ses conseillers un tantinet éberlués, si «la diplomatie française peut lui accorder un peu de marge de manoeuvre»... Ce Nicolas Sarkozy paraissait éberlué, bluffé, étonné lui-même d'être enfin là, dans ce «saint des saints» de la puissance mondiale. «Dans ce G8, on n'a pas une seconde, on court de réunion en réunion», a-t-il poursuivi. Regards déconcertés des confrères. Ce président-là ressemblait à un grand ado un peu perdu, sortant de sa pochette surprise ses propositions pour sauver le monde: moratoire de six mois sur le Kosovo, annonce d'une prochaine visite au Royaume-Uni pour convaincre Gordon Brown de soutenir son «traité simplifié»... A côté de la plaque Je l'ai, pour tout dire, vraiment trouvé à côté de la plaque. Pas alcoolisé. Plutôt survitaminé. Comme dopé. Quelque chose sonnait faux dans ses mots. Il n'était pas ce soir là le chef de l'Etat français. Il était «Sarko»: cet énergique politicien qui vous veut du bien, vous sourit mécaniquement, est bourré de tics et ramène tout à lui: la victoire arrachée à Bush sur le climat, l'arrêt des souffrances au Darfour... Je l'ai suivi en campagne électorale, avec le correspondant du Temps à Paris, Sylvain Besson. Il est comme ça. Il lui faut du pathos, de l'adhésion, une bonne dose de «Je», de «moi». Ivre d'être là... Amphétamines, alcool, déprime? Laissons de côté les rumeurs qui vagabondent sur Internet. Ce qui m'a sidéré, en cette fin d'après-midi au G8, c'est que Nicolas Sarkozy ne parlait pas de l'état du monde. Il nous parlait de lui, de sa «franchise», de son «agenda», de son «calme». D'abord ivre d'être là. Saoulé par ses propres paroles.Ça laisse rêveur... A la limite, j'aurais préféré qu'il ait bu...
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F
Vous êtes tous méchants !!!C'est Vlad' qui lui a fait une blague à la con , il lui a offert du jus d'orange ....avec moitié de vodka à 50% !!Bien élevé , le petit Nicolas n'a rien dit et à bu son verre pendant que notre bon Vlad lui racontais la dernière histoire blonde russe , et c'est pour ça qu'il est arrivé essouflé et toujours en train de rire de la bonne blague de Vlad tout en digérant le jus d'orange !!!Voila la vérité vraie ...
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B
sur RTL ils ont en parlé vite fait et ils ont parlé d'essoufflement...l'ivresse de la course certainement.
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V
Mais c'est pas le hoquet, c'est un gros rot dégueu....
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